Résumé de la fin de l'épisode précédent.
Suivait la séance de décrochage des toiles et autres cadres afin de chasser les araignées, détruire leur résidence secondaires, vérifier les cordons et les attaches, nettoyer les vitres.
Nous avions également veillé à rendre solidaires les tapis au sols, il était important que M.Isidore et les autres invités soient en permanence en sécurité dans la maison.
J’avais souvent entendu auprès de moi que des personnes s’étaient mortellement blessées, prises dans un fil d’une lampe ou d’un téléphone ou d’avoir trébuché sur un tapis instable.
J’étais vigilant à ces points essentiels. Je transmettais la sécurité & l’entretien des biens et des personnes à Etienne l’attentif , il était extrêmement vigilant à ma grande satisfaction.
Pendant « les classes d’Etienne » la vie continuait à la ‘’grande maison de la prairie’’ ..
Episode 22
1-Le début des cours
Comme je l’écrivais précédemment, je formais un garçon qui possédait toutes les qualités nécessaires pour devenir un grand majordome. Cependant, il travaillait au sein de famille exceptionnellement exceptionnelle ce qui, facilitait son intégration.
Respecté et choyé, il prenait rapidement confiance en lui, et en ses possibilités à ma grande satisfaction.
Ces paramètres réunis, il ne pouvait pas ne pas s’épanouir, son salaire de cycliste-livreur était multiplié par trois, plus les avantages, plus le logement, la garde-robe, et les frais de bouche.
La vie continuait avec une régularité apaisante, qui n’allait pas se prolonger.
Nous allions passer à une vitesse plus intense.
2-Business brunch.
Lors du petit-déjeuner dominical qui suivit cette semaine, je restais seul avec M.Isidore.
Vers 13.30 son fils, sa collaboratrice nous rejoignirent avec leurs familles pour un brunch improvisé, dans le jardin d’hiver.
Les charcutailles ramenées du pays basque, les œufs frais de nos poules maison, nous permirent d’organiser une agape sympathique. J’avais mis tout le monde à contribution, tout le monde, même Monsieur Isidore qui nous fit nous rire par sa bonne humeur en nous disant que: « sa popote avait fière allure »
Le petit fourneau en fonte nous servait de garde-manger, et de place de:
« de mijotage »
Dans deux semaines, la vie ne serait plus un long fleuve tranquille.
Le travail de mise en place et de logistique était considérable.
Plusieurs points étaient essentiels. La maison allait recevoir une dizaine de personnalités, donc dix voitures, dix chauffeurs probablement des gardes-du-corps et quelques conseillers.
Il était important de tenir informé les autorités de police et de gendarmerie du calendrier de nos conférences.
3- Consignes préparatoires.
Je reçu le traiteur pour lui faire visiter nos locaux et nos installations pour les camions.
Lors de cette visite le choix des menus fut arrêté, mais ouvert aux spécificités alimentaires, et régimes divers. Les personnels des brigades de cuisine et de salle porteraient un badge, s’abstiendraient de fumer, l’utilisation des portables était prohibée aucune information ne devait filtrer hors des murs de la résidence.
J’avais pensé à faire augmenter la puissance wifi, j’avais recruté une dame pipi et vestiaire sous la gouvernance de notre Josette la basco-béarnaise.
Etienne et moi serions chargé d’accueillir et de seconder les désirs des participants.
Au siège du groupe, j’avais rencontré les éminences grises, je connaissais la plus-part des participants aux déjeuners conférences.
Tout était pensé, tout était organisé, tout était minuté grâce à l’efficacité des personnels du siège. La semaine précédent nos manifestations était une semaine de communication directe et de répétitions.....
The mystery Butler | Jules mountbrion